Penchons nous sur le cas du conflit Israëlo-Palestinien.
Est-ce un conflit binaire ? Non.
Il y a deux nationalités dont la reconnaissance mutuelle est discutée, trois religions représentées avec leurs tendances des plus tolérantes aux plus radicales, à quoi se mêle la palette des opinions politiques.
Ajoutons que les immigrés Israëliens se regroupent souvent par pays d'origine.
On peut dénombrer plus de 20 identités aux intérêts divergents.
Et sur 27.000 km2, soit un carré de 164km de côté, la promiscuité induit l'interaction des intérêts.
Plus que dans tout autre point du Monde, la situation est impossible à lire de l'extérieur avec lucidité. Les actions intrusives des puissances extérieures sont myopes. Elles rompent toute possibilité d'équilibre.
Chacun peut percevoir voire comprendre que si l'on retire les puissances extérieures - Europe, Etats-Unis, Russie, Ligue Arabe-, le litige trouverait une solution en quelques semaines tant la soif de paix est puissante. Et l'on peut pronostiquer que cette solution trouvée localement serait mise en application en moins d'un an.
Alors que faire ?
Restaurons à chaque échelon son niveau de négociation. Sortant de la confusion des genres, on sort de la confusion de la situation.
Au niveau local, entre palestiniens et israéliens, revient la négociation pratique sur la circulation des hommes et des marchandises.
Cette alliance peut être un accord de circulation, mais peut aller jusqu'à la mise en place d'une fédération.
Ayons foi dans les élites de ces peuples pour déterminer le degré d'intégration entre les deux entités.
Ayons foi dans les peuples pour manifester leur soif de paix et faire pression pour cet accord.
Au niveau international, l'Union Européenne a la capacité de négocier un accord de non intrusion à destination de la Russie, des Etats-Unis, de la Ligue Arabe. Lorsque l'encre des quatre signatures sera sèche, le monde aura changé de visage.
Mais pourquoi cette mécanique tarde à être enclenchée? La réponse est au-delà des questions séculaires.
Au-delà des questions séculaires
J'ai acquis la conviction que ce conflit est un indicateur de l'état du Monde. Cette zone est le carrefour des religions abrahamiques, le lieu de naissance de l'écriture alphabétique, le plus ancien comptoir de la civilisation méditerranéenne, le terrain d'affrontement des grandes puissances, le point de crispation des pétromonarchies.
Or le Monde dans l'état actuel de son cycle d'évolution continue d'aller vers la fragmentation. Les clans se divisent et se subdivisent, les familles se désagrègent, les hommes se spécialisent sur des tâches de plus en plus restreintes dans les processus de production qui s'allongent, les individus sont séparés par des écrans de télévision, de téléphone, d'ordinateur.
Le conflit, comme indicateur de l'état du monde, commencera à se résoudre lorsque l'on approchera l'état ultime de fragmentation, et que l'on remontera vers l'Unité.
Au-delà de la forme politique extérieure, la résolution du conflit sera aidée par la prière, l'ascèse, la purification de chacun. Le combat s'élèvera, montera en vibration, pour finalement parvenir à une union dans les plus hautes sphères. Il suffirait d'un sage d'une immense purité, pour entraîner dans son rayonnement toute la population. On peut d'ailleurs se demander si c'est cette figure qui est annoncée tant à l'occasion de la Parousie pour les chrétiens, que du retour du Messiah pour les Juifs.
Au demeurant, et sur un plan plus exotérique, si les Dix Commandements de Dieu étaient respectés en totalité dans le Monde par ne serait-ce qu'un individu sur dix, le conflit en Israël paraîtrait incongru, de même que tout autre type de conflit armé.
Eviter la fragmentation ultime
La déflagration nucléaire risque d'être l'ultime fragmentation. Le combat fondamental à mes yeux est la destruction des armes nucléaires. La résolution du conflit Israëlo-Palestinien est une clé pour éloigner ce risque et engager la destruction des bombes.
L'arme nucléaire est bien la plus élevée de toutes les menaces sur la survie de l'humanité; dépenser son temps et son énergie pour se soumettre à la mode du "développement durable" a peu de sens à cette aune.
Est-ce un conflit binaire ? Non.
Il y a deux nationalités dont la reconnaissance mutuelle est discutée, trois religions représentées avec leurs tendances des plus tolérantes aux plus radicales, à quoi se mêle la palette des opinions politiques.
Ajoutons que les immigrés Israëliens se regroupent souvent par pays d'origine.
On peut dénombrer plus de 20 identités aux intérêts divergents.
Et sur 27.000 km2, soit un carré de 164km de côté, la promiscuité induit l'interaction des intérêts.
Plus que dans tout autre point du Monde, la situation est impossible à lire de l'extérieur avec lucidité. Les actions intrusives des puissances extérieures sont myopes. Elles rompent toute possibilité d'équilibre.
Chacun peut percevoir voire comprendre que si l'on retire les puissances extérieures - Europe, Etats-Unis, Russie, Ligue Arabe-, le litige trouverait une solution en quelques semaines tant la soif de paix est puissante. Et l'on peut pronostiquer que cette solution trouvée localement serait mise en application en moins d'un an.
Alors que faire ?
Restaurons à chaque échelon son niveau de négociation. Sortant de la confusion des genres, on sort de la confusion de la situation.
Au niveau local, entre palestiniens et israéliens, revient la négociation pratique sur la circulation des hommes et des marchandises.
Cette alliance peut être un accord de circulation, mais peut aller jusqu'à la mise en place d'une fédération.
Ayons foi dans les élites de ces peuples pour déterminer le degré d'intégration entre les deux entités.
Ayons foi dans les peuples pour manifester leur soif de paix et faire pression pour cet accord.
Au niveau international, l'Union Européenne a la capacité de négocier un accord de non intrusion à destination de la Russie, des Etats-Unis, de la Ligue Arabe. Lorsque l'encre des quatre signatures sera sèche, le monde aura changé de visage.
Mais pourquoi cette mécanique tarde à être enclenchée? La réponse est au-delà des questions séculaires.
Au-delà des questions séculaires
J'ai acquis la conviction que ce conflit est un indicateur de l'état du Monde. Cette zone est le carrefour des religions abrahamiques, le lieu de naissance de l'écriture alphabétique, le plus ancien comptoir de la civilisation méditerranéenne, le terrain d'affrontement des grandes puissances, le point de crispation des pétromonarchies.
Or le Monde dans l'état actuel de son cycle d'évolution continue d'aller vers la fragmentation. Les clans se divisent et se subdivisent, les familles se désagrègent, les hommes se spécialisent sur des tâches de plus en plus restreintes dans les processus de production qui s'allongent, les individus sont séparés par des écrans de télévision, de téléphone, d'ordinateur.
Le conflit, comme indicateur de l'état du monde, commencera à se résoudre lorsque l'on approchera l'état ultime de fragmentation, et que l'on remontera vers l'Unité.
Au-delà de la forme politique extérieure, la résolution du conflit sera aidée par la prière, l'ascèse, la purification de chacun. Le combat s'élèvera, montera en vibration, pour finalement parvenir à une union dans les plus hautes sphères. Il suffirait d'un sage d'une immense purité, pour entraîner dans son rayonnement toute la population. On peut d'ailleurs se demander si c'est cette figure qui est annoncée tant à l'occasion de la Parousie pour les chrétiens, que du retour du Messiah pour les Juifs.
Au demeurant, et sur un plan plus exotérique, si les Dix Commandements de Dieu étaient respectés en totalité dans le Monde par ne serait-ce qu'un individu sur dix, le conflit en Israël paraîtrait incongru, de même que tout autre type de conflit armé.
Eviter la fragmentation ultime
La déflagration nucléaire risque d'être l'ultime fragmentation. Le combat fondamental à mes yeux est la destruction des armes nucléaires. La résolution du conflit Israëlo-Palestinien est une clé pour éloigner ce risque et engager la destruction des bombes.
L'arme nucléaire est bien la plus élevée de toutes les menaces sur la survie de l'humanité; dépenser son temps et son énergie pour se soumettre à la mode du "développement durable" a peu de sens à cette aune.
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